Les aéroports franciliens se préparent à accueillir un nombre record de visiteurs pour les Jeux olympiques et paralympiques de 2024. Pour fluidifier les flux de spectateurs, ils misent sur le covoiturage.
Les aéroports franciliens misent sur le covoiturage
Les aéroports parisiens de Roissy-Charles de Gaulle et d’Orly prévoient d’accueillir plus de 10 millions de passagers supplémentaires pendant les Jeux olympiques et paralympiques de 2024. Pour faire face à cet afflux massif, les autorités aéroportuaires misent sur le covoiturage afin de réduire le trafic routier et les émissions de gaz à effet de serre.
Les aéroports parisiens se préparent à accueillir un nombre record de visiteurs pour les Jeux olympiques et paralympiques de 2024.
Objectif : fluidifier les flux de spectateurs
En collaboration avec des plateformes de covoiturage comme BlaBlaCar et Karos, les aéroports franciliens mettent en place des dispositifs spécifiques pour inciter les voyageurs à partager leur trajet. Des voies réservées et des parkings dédiés seront aménagés pour les véhicules de covoiturage, permettant de réduire les temps d’attente et de faciliter l’accès aux terminaux.
De plus, les aéroports lanceront des campagnes de communication pour sensibiliser les voyageurs aux avantages du covoiturage : réduction des coûts de transport, diminution de l’empreinte carbone et gain de temps. Des réductions tarifaires et des avantages exclusifs seront également proposés aux utilisateurs de covoiturage.
Les aéroports franciliens espèrent ainsi réduire de manière significative le nombre de véhicules individuels circulant autour des plateformes aéroportuaires, améliorant ainsi la fluidité du trafic et l’expérience des voyageurs pendant les Jeux olympiques et paralympiques de 2024.
Le covoiturage s’impose comme une solution efficace pour fluidifier les flux de spectateurs lors des grands événements sportifs. Les aéroports franciliens, en misant sur ce mode de transport durable, démontrent leur engagement en faveur de la mobilité douce et de la réduction de l’impact environnemental des Jeux olympiques et paralympiques de 2024.